Sociétaires Got Talent // On a testé : le R-Clean et le Codéveloppement

Nous sommes déjà 80 sociétaires dans la coopérative Oui je me lance. Et la plupart sont des entrepreneurs. Autant vous dire qu’avec la crise sanitaire et le confinement, les méninges chauffent pour arriver à trouver des remèdes pour les autres et pour soi !

Il se trouve que nous avons la chance d’avoir pu tester concrètement deux solutions proposées récemment par deux d’entre eux. Un produit et un service. Un objet et une méthode. En tout cas deux choses qui font du bien !

Un décontaminateur d’air qui fonctionne… et un atelier de codéveloppement

R-Clean 200 : le décontaminateur d’air

Jean-Christophe CHAMPION est Soiséen et fondateur de la société ASSETHOS. Depuis des années, son expertise est celle de la pollution de l’air notamment en nettoyant et désinfectant les systèmes de ventilation et de climatisation. Ses clients sont souvent des hôtels (parfois de luxe), mais pas seulement. Il assainit également restaurants, magasins, bureaux, administrations… Il dirige une équipe de 6 personnes intervenant surtout en région parisienne.

Il a décidé de compléter son offre de services avec un produit. Le problème, c’est que dans le secteur des « purificateurs d’air », c’est souvent l’apanage des bonimenteurs de foire. Or, le décontaminateur d’air sélectionné par Jean-Christophe est un objet qui a passé deux tests pour le moins probants. Le premier par le fabricant (Clean Air Way basé en Gironde). Le second à la demande d’Assethos par un labo spécialisé dans la pollution de l’air parisien.

En deux mots, c’est la photo-oxydation qui permet de neutraliser les principaux micro-polluants (particules fines et Composé Organiques Volatils). Bref, il est idéal pour éliminer fumées, moisissures, odeurs etc.

Nous l’avons installé dans l’espace d’accueil/coworking à Soisy et même si l’ambiance était déjà bonne, nous pouvons aussi dire que l’ambiance est saine ! D’autant qu’il peut tout à fonctionner pendant qu’on est dans la pièce.

La séance de codéveloppement

Geneviève PEZEU est Soiséenne également. Elle est historienne, enseignante-chercheuse notamment sur les questions de mixité et d’égalité femmes-hommes. Elle vient de publier un livre sur ce sujet d’ailleurs !

Elle s’est formée pour devenir facilitatrice en codéveloppement. Il s’agit d’une méthode, d’origine canadienne, qui développe les mécanismes d’intelligence collective entre pairs.

Très concrètement, nous avons formé un petit groupe de 5, en visio en raison du confinement et nous avons passé 2h30 ensemble un vendredi soir. Eh bien… c’est passé très vite !

Et effectivement tout le monde est reparti enrichi de quelque chose alors que nous ne nous connaissions pas. Au point de se fixer une deuxième séance le vendredi suivant !

Cette méthode est séquencée à la minute près en plusieurs étapes et la facilitatrice permet donc d’aborder la préoccupation professionnelle d’un des participants, les autres jouant en quelque sorte le rôle de consultants.

A titre personnel, j’avais déjà expérimenté des formats appelés « atelier miroir » mais sans un chef d’orchestre et un protocole, on ne fait que glisser et digresser. Mais sinon concrètement à quoi ça sert ?

Orienter ou réorienter sa vie professionnelle

  • Orienter ou réorienter sa vie professionnelle
  • Inventer ou ré-inventer son projet d’entreprise ; faire face aux changements
  • Se repérer et débloquer des situations complexes
  • Réfléchir et prendre le temps de la réflexion sur son activité professionnelle et les orientations envisageables
Livre Genevieve Pezeu : Des dilles chez les garçons
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